samedi 18 septembre 2021

Pyrénées Veloruck/DDEAV Etape 2




La deuxième étape de notre périple pyrénéen, annoncée comme une étape de transition comporte néanmoins 3 cols à savoir le Col de Port, le Col de la Core et le Portet d'Aspet qui aura marqué l'histoire du tour de France à de nombreuses reprises. Le soleil et la chaleur de la première étape ont disparus laissant place à la flotte et au froid. Ce n'est pas toujours un plaisir mais on arrive malgré tout à en profiter. Aujourd'hui, ce sera vestes longues, sur-chaussures et vestes de pluie ! Il va falloir jongler entre vêtements mouillés et vêtements secs. Une savante organisation pour chacun dans l'utilisation des bouches de ventilation du camion d'assistance ! 


Nous logions à Ax-les-Thermes après la première étape, légèrement en contre-bas du départ donc nous remontons un peu la vallée jusqu'à croiser le peloton. 



C'est parti : les tenues de pluie sont de sortie ! 



Solène, l'Auvergnate de DDEAV garde le sourire en toutes circonstance.

























Les cols se passent presque dans le brouillard... où en tout cas le plafond est très bas ! 



Traversée de Seix au pied du Col de la Core, aujourd'hui pas de "Seix on the Beach" 






Notre ami Christian, toujours au top avait prévu le café.

Une petite accalmie de la pluie nous ravi et nous fait du bien !


A l'entrée de Portet d'Aspet le plafond redevient bien bas... L'accalmie aura été de courte durée.









La descente, c'est sur des œufs : la route est détrempée et un véhicule a déversé du gasoil dans toute la descente... 


Le virage "Philippe Gilbert" du 25 Juillet 2018 !



On sent une certaine appréhension...

La stèle de Fabio Casarteli, décédé dans cette descente le 18 Juillet 1995 lors de la 15ème étape entre Saint-Girons - Cauterets. 


La photo de famille devant le monument. Ceci nous rappelle que notre sport n'est pas danger et remet un peu d'humilité en chacun de nous.






Tant que nous sommes dans la mémoire...

L'assistance avec notre Christian protecteur !


Nous fêtons l'arrivée à Saint-Gaudens, signe que cette journée à laisser des traces à tout le monde.

L'arrivée est jugée au sommet d'une bonne bosse d'un kilomètre environ. 



La zone technique prend forme pour le lendemain.





Il flotte toujours, on se change rapidement et on prend la route de Muret où l'on passera la nuit. 


Conduire toute la journée est aussi très fatigant alors lorsque l'on est dans le camion on relaye Christian pour qu'il se repose ... et en général, il ne peine pas à trouver le sommeil !! 




Pourvu que ça sèche pour demain, car il y a la troisième étape : vive le mode "Romanichel" 


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